La marée haute,
Hissé haut marin dérouté,
je reste sous l'eau, est-ce le chaos?
laissons tomber les masques, nous laissons fondre la glace...
Ça gravite dans le cortex
Ça bouge , mais vers le rouge, les astres , sages, savent ...
J'ai le gout du ciel et reste sourde à ses appels.
L'humanité refoule la vérité de la nature comme une vieille émotion, que l'on ne veut pas entendre, et que l'on ligote en soi, pour ne pas qu'elle s'exprime. L'humanité se rend malade avec son attitude irresponsable. Telle un jeune adulte, dans sa courte vie à succès, se suicide à 27 ans après avoir profité abusivement de son passage. A l'échelle de l'univers, nous sommes Jeune et mis à l'épreuve et malgré les rappels à l'ordre nous brûlons par les deux bouts. L'être humain et les éléments ont divorcé depuis longtemps , il a voulu soumettre la nature à ses volontés les plus absurdes.
Sans les artifices,
sous le fond de teint , les cicatrices.
Lorsque la chenille croit en la mort elle devient papillon , mais nous, nous tournons en rond...
De salles ambitions
On éloigne les questions.
Comme le roi de l'illusion,
Il façonne le monde de béton
et de surconsommation.
Mon compte est bon
Le cœur en prison , mesurer l'horreur de nos factions ...
sans admettre la punition.
La Terre oubliée
Dans nos cages dorées,
admirons ce lien fané,
les regrets en collier.
Accepter d'être petit, dans l'ombre, d'être reconnaissant et plein de gratitude. En sommes nous capable? Seulement respecter ce que l'on devrait être, à notre place. Nous restons la faiblesse pas le poison, qui peut le plus peut le minimum.
L'erreur est humaine , réparons dans la peine,
Pain, et voir où ça nous mène...
Laissons nous chavirer,
Nos rires crispés , noyés